Jour férié supplémentaire spécifique au département de la Réunion (1981).

On pourais changer férié en journée dédié au bizness.

Journée de profits pour les commerces.

Bien que considéré comme jour férié le 20 décembre est une journée de bizness, qui n'a rien à voir avec sa désignation. Tous les commerces sont ouverts, les employés qui sont d'origine réunionnaises trinques pour quelques euros de plus. Certaines associations qui n'ont pas pût tirer leurs épingles du jeux sont plus ou moins frustrées.

A quoi bon mettre des jours feriés si ce n'est pas pour les respecter après.

Les jours fériés à la Réunion un bizness sans précédent.

OUEST Reunion

La Réunion célèbre, dans le courant du mois de décembre la commémoration de l'abolition de l'esclavage instigué en 1981 par le gouvernement en place à cette époque.

Cette journée est déclarée férié à la Réunion, ce qui n'empêche pas, que la majorité des commerces soit ouverts, mais aussi les syndicats d'être présents pour revendiquer ce jour, ces mêmes syndicats sont dépassés par l'ampleur du non respect et du laxisme politiques et décideurs.

C'est à ce moment bien précis que l'on constate ques les gros et petits patrons s'assoient sur les lois sans scruples.

Le 20 décembre une fête dont les communes ont fait main mises dessus depuis sa création. Beaucoup de podiums sont installés pour accueillir les groupes musicaux traditionnels, mais aussi des formations musicales de toutes sortes.

Holiday additional specific department of Reunion (1981)

Firmin Viry un des pionniers de la culture Maloya de la Réunion.

La komine anndan!

20 désanm fèt kaf, fèt la libèrté! Sa in fèt sak lané bann komèrs i rèspèk pa ditou, sirtou lo moman fé inpé larzan anplis. Fèt la lé konm la fèt lamizik, sanm in ta group i pass po mèt lanbians dizon si pliskin sominn.

Konm tout bann fèt sé la komine i organiz sa na lo bidjé lé voté, mé sé osi po rapèl banna an fin-kanpagn la politik, avan té zot bann komèr té navé sabouk dann la min! Po sak i di la sinn la kasé, oubli pa ké lésklavaz modèrn i èkzist mé bonpé la fine oublié.